Des pauvres toujours plus miséreux
Je sors momentanément de mon hibernation hivernale… pour vous renvoyer vers un article du monde.fr : Les Chinois les plus démunis continuent de s'appauvrir.
Morceaux choisis :
« Il suffit d'aller à 100 kilomètres autour de Pékin pour trouver des villages où, même s'il n'y a pas un fort taux de pauvreté, plusieurs familles sont très pauvres. »
« Certains experts estiment ainsi que le démantèlement progressif du système de protection sociale dont jouissaient les employés d'unités de travail explique en partie l'appauvrissement de certaines classes sociales. »
« Avant le début des réformes économiques, le système de sécurité sociale en Chine était déjà très fragile. Aujourd'hui, il a pratiquement disparu. »
Néanmoins, tout n’est pas noir : « Les réformes initiées à partir de 1978 par l'ancien dirigeant Deng Xiaoping ont permis à 400 millions de Chinois de s'arracher de leurs conditions de pauvres en un quart de siècle. Mais le fossé n'a, ces dernières années, cessé de s'élargir entre les revenus urbains et paysans : 8% à 9% de croissance du niveau de vie pour les citadins contre à peine 5% pour les gens des campagnes. »
Hesiem, Pékin (Chine)
Morceaux choisis :
« Il suffit d'aller à 100 kilomètres autour de Pékin pour trouver des villages où, même s'il n'y a pas un fort taux de pauvreté, plusieurs familles sont très pauvres. »
« Certains experts estiment ainsi que le démantèlement progressif du système de protection sociale dont jouissaient les employés d'unités de travail explique en partie l'appauvrissement de certaines classes sociales. »
« Avant le début des réformes économiques, le système de sécurité sociale en Chine était déjà très fragile. Aujourd'hui, il a pratiquement disparu. »
Néanmoins, tout n’est pas noir : « Les réformes initiées à partir de 1978 par l'ancien dirigeant Deng Xiaoping ont permis à 400 millions de Chinois de s'arracher de leurs conditions de pauvres en un quart de siècle. Mais le fossé n'a, ces dernières années, cessé de s'élargir entre les revenus urbains et paysans : 8% à 9% de croissance du niveau de vie pour les citadins contre à peine 5% pour les gens des campagnes. »
Hesiem, Pékin (Chine)