Entretien avec Ségolène
La visite en Chine et à Pékin d’une candidate à l’élection présidentielle vaut bien une petite note sur ce blog qui a un peu perdu de son rythme habituel depuis quelques semaines mois… Rassurez-vous ce n’est que passager et l’inspiration reviendra.
Vous le savez, la presse et les télévisons vous en rabattent bien assez les oreilles avec ça, Ségolène Royal est de passage à Pékin. Je ne vais pas me lancer sur des explications sur les pourquoi du comment. Enfin bref elle était la, et ce soir, elle nous a offert un dialogue. Ce n’était pas le bain de foule Chiraquien, au contraire, que ce soit pendant le repas organisé à l’hôtel Novotel par la Chambre de commerce et d'industrie française en Chine ou lors de la séance des questions qui a suivi le dîner, le nombre des personnes présentes n’était pas trop important ce qui donnait à l’événement son caractère intime. Son discours en ouverture de dîner, fut plus passionnant que celui de Chirac lors de son dernier passage par Pékin, sans forcément apporter des éléments nouveaux par rapport à ce qu’elle a pu dire dans un passé récent. Sur la forme, ce qui fait la force du personnage c’est, il me semble, cette sagesse dans le propos, ce calme qui l’anime et qui contraste tant avec son candidat direct et quasiment autoproclamé.
Une anecdote… Pendant le repas, mon voisin de table m’expliqua qu’il aimait se faire prendre en photo avec les hommes politiques et je lui ai proposé de lui tirer le portrait au bras de Ségolène. A la fin du repas nous sortîmes de la salle avant tout le monde et attendions tranquillement la sortie de la star de la soirée. Vu que nous étions sages comme des images, elle est sortie de la salle sans trop nous voir… déception, mais de courte durée car elle fit demi-tour et s’approcha de nous pour taper la discute et prendre le fameux cliché.
La suite se déroulait dans une autre salle avec un public un peu différent (une minorité de costard cravates… ouf !). J’ai pu apprécier son sens de la répartie face à certaines questions plus ou moins intéressantes, voir mêmes maladroites. Je n’en dit pas plus, il est tard et la presse est la aussi pour ça. N’hésitez pas à visiter les blogs d’Olivier et Camille que j’ai cru apercevoir équipés respectivement de leurs éternels micro et caméscope.
Hesiem, Pékin (Chine)
Vous le savez, la presse et les télévisons vous en rabattent bien assez les oreilles avec ça, Ségolène Royal est de passage à Pékin. Je ne vais pas me lancer sur des explications sur les pourquoi du comment. Enfin bref elle était la, et ce soir, elle nous a offert un dialogue. Ce n’était pas le bain de foule Chiraquien, au contraire, que ce soit pendant le repas organisé à l’hôtel Novotel par la Chambre de commerce et d'industrie française en Chine ou lors de la séance des questions qui a suivi le dîner, le nombre des personnes présentes n’était pas trop important ce qui donnait à l’événement son caractère intime. Son discours en ouverture de dîner, fut plus passionnant que celui de Chirac lors de son dernier passage par Pékin, sans forcément apporter des éléments nouveaux par rapport à ce qu’elle a pu dire dans un passé récent. Sur la forme, ce qui fait la force du personnage c’est, il me semble, cette sagesse dans le propos, ce calme qui l’anime et qui contraste tant avec son candidat direct et quasiment autoproclamé.
Une anecdote… Pendant le repas, mon voisin de table m’expliqua qu’il aimait se faire prendre en photo avec les hommes politiques et je lui ai proposé de lui tirer le portrait au bras de Ségolène. A la fin du repas nous sortîmes de la salle avant tout le monde et attendions tranquillement la sortie de la star de la soirée. Vu que nous étions sages comme des images, elle est sortie de la salle sans trop nous voir… déception, mais de courte durée car elle fit demi-tour et s’approcha de nous pour taper la discute et prendre le fameux cliché.
La suite se déroulait dans une autre salle avec un public un peu différent (une minorité de costard cravates… ouf !). J’ai pu apprécier son sens de la répartie face à certaines questions plus ou moins intéressantes, voir mêmes maladroites. Je n’en dit pas plus, il est tard et la presse est la aussi pour ça. N’hésitez pas à visiter les blogs d’Olivier et Camille que j’ai cru apercevoir équipés respectivement de leurs éternels micro et caméscope.
Hesiem, Pékin (Chine)